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L’entraîneur parisien Luis Enrique était modérément satisfait après la victoire inaugurale obtenue en fin par son équipe, ce vendredi au Havre (4-1), en ouverture de la nouvelle saison de Ligue 1.
Comment analysez-vous ce succès du PSG, vainqueur 4-1 au Havre ?
« En premier lieu, je tiens à rappeler que c’est le premier match de la saison. On a vite marqué mais ça a provoqué un rythme lent. Ça peut se retourner contre nous. On a eu des hauts et des bas. Les entrées ont été positives, Le Havre nous a rendu les choses difficiles mais on a eu beaucoup d’occasions et le résultat est mérité. »
Quelles sont les nouvelles de Gonçalo Ramos ?
« Il a subi une grosse entorse de la cheville. On pense qu’il sera absent de manière conséquente, même si on va tenter de réduire ce temps au maximum. »
Pourquoi avoir titularisé Ibrahim Mbaye ?
« On le connaît déjà. Il vient du centre de formation. Il avait effectué de bons matches de préparation. Il a été bon en première période même s’il a eu du mal à se lâcher. C’est un joueur d’avenir. »
Qu’avez-vous pensé du match de Kolo Muani et voulez-vous encore recruter en attaque ?
« On est toujours ouvert à l’amélioration de notre équipe. C’est nécessaire d’y penser. J’ai trouvé que Randal a apporté une présence physique et technique. Pas forcément au poste d’attaquant, mais avec sa polyvalence. C’est important d’avoir du temps de jeu, d’aider l’équipe. »
Un mot sur l’entrée de Joao Neves ?
« Je le qualifie d’énergie pure au service de l’équipe. On va l’aider. Il a des qualités de mobilité, de courage pour aller dans la surface de réparation, de dernière passe, en défense. Les supporters vont l’adorer. »
Êtes-vous satisfait de voir quatre buteurs différents, afin d’éloigner le débat de l’après Kylian Mbappé ?
« Encore heureux que l’on ait marqué 4 buts ! Si on en avait 1 ou 0, vous auriez commencé à sortir les couteaux (sourire). »
S’agit-il d’une bonne base de travail, avec un score large mais des défauts encore dans le jeu ?
« Le score est l’arbre qui cache la forêt. On a perdu trop de ballons faciles, ce qui rend les choses difficiles. On a failli être menés 2-1. Aucun match n’est relax ou reposant quand on est un joueur du PSG. Ce sont toujours des matches de haute intensité. »