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A seulement 17 ans, le défenseur Tanguy Nianzou Kouassi a remporté le Titi d’Or 2019 ce vendredi. Présent lors de l’émission 100% PSG sur France Bleu Paris, il est revenu sur ses débuts remarqués avec l’équipe professionnelle. Morceaux choisis.
Période euphorique
« C’est vrai que je vis deux bons mois. Ca me fait très plaisir de jouer avec mon club formateur. J’ai vraiment travaillé dur pour en arriver là. J’espère que cela ne sera pas fini. Dire que je marche sur l’eau, je ne le pense pas. Je n’ai encore rien fait, comparé à Thiago Silva, Marquinhos ou bien Presnel Kimpembe. J’ai encore beaucoup à apprendre. »
Evolution rapide
« J’étais ramasseur de balle au Parc des Princes lors du match de Ligue des Champions entre le PSG et le FC Bâle. C’était un beau match. Me voir quelques années après jouer avec eux me fait forcément très plaisir ! Dire que cela va aussi vite, c’est très choquant. »
Rêve éveillé
« Quand j’ai du mal à m’endormir, c’est plutôt après les matches lors desquels j’ai joué. J’ai à chaque fois du mal à y croire ! Vraiment, c’est chaud ! C’est fou ! (rires) »
Premiers ballons
« Je suis né à Paris, mais j’ai très vite déménagé dans le 91 à Epinay-sous-Sénart. C’est là où j’ai disputé mes premiers matches de football sur le terrain Alain Mimoun. J’y ai signé ma première licence. C’est là où tout a commencé. »
Découverte du foot
« Mon frère Jean-Michel a beaucoup compté à mes débuts, sans oublier mon père également. Mon frère m’a emmené au football, il m’a beaucoup aidé. Il essayait de corriger mes défauts sur le terrain. J’en avais beaucoup étant petit ! (rires) Je manquais de concentration, d’agressivité. »
Polyvalence
« En U19, je n’ai joué qu’une seule fois au milieu de terrain. C’était contre le RC Lens en coupe Gambardella. J’ai découvert ce poste d’abord avec l’équipe professionnelle. »
Mode apprentissage
« Je suis toujours à l’écoute, c’est une obligation. Quand je fais une erreur et que l’on me corrige, j’essaye de le reproduire correctement. »